« Les 2 poids et 10 mesures de la Préfecture "en faveur de la communauté amérindienne" », titre l'ADER Guyane dans un communiqué longuement argumenté, dans lequel elle dénonce « la chape de silence », « les chiffres ahurissants », les effets d'annonce et les mesures toujours aussi désordonnées et peu convaincantes, voire bâclées, des autorités pour mettre fin à ce drame qui n'en finit pas en territoire amérindien :
Le 8 janvier 2011, deux nouveaux suicides interviennent en territoire amérindien, au sud de la Guyane : un homme de 29 ans, en cellule de dégrisement à la gendarmerie de Camopi, sur l'Oyapock, et un jeune de 18 ans, vivant à Antecume Pata, sur le Maroni. Les médias réagissent, mais se focalisent tout d'abord sur Camopi. Notre association, "Actions pour le Développement, l'Education et la Recherche" (ADER), qui développe un projet de prévention du suicide sur le Haut Maroni, les interpelle alors une nouvelle fois, sur ce territoire oublié. Le 10 janvier nous apprenons la tenue d'une réunion en urgence sur le suicide des Amérindiens, à l'initiative de la Préfecture de Guyane. ADER s'y invite... lire la suite (pdf)
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