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Jodla 17/10/08
Une prise de conscience ardemment attendue

En attendant la sortie en Guyane de « La Fièvre de l'or » d'Olivier Weber (pour quand ?), la presse nationale en parle abondamment :
« La Fièvre de l'or en Guyane, un film contre un scandale à ciel ouvert » Rue89.
« La Fièvre de l’or reste un produit télévisuel quand il n’était pas si loin d’atteindre un nouvel horizon. » Critikat.com.
« L’intelligence de La Fièvre de l’or est de montrer le parfait enchâssement de cette nébuleuse : là où les micropouvoirs d’une société peuvent avoir le dessus sur l’État.» Scienceshumaines.com.
« Entre les paysages somptueux de l’Amazonie, la caméra remonte la piste du mercure » Libération.
« Un passionnant documentaire qui dépeint la triste réalité de l'Amazonie, vicieux eldorado devenu l'un des pires théâtres de la mondialisation.» Le Figaro.
« Images brutes pour un reportage brutal » Le Monde.
« Un documentaire sur un massacre humain et écologique » Romandie.com.
« Ce sujet était un paradigme de notre monde, avec son autodestruction programmée. » Toutlecine.com (avec infos sur le tournage).
Sur Olivier Weber, l'auteur du film, lauréat des prix Albert Londres, Joseph Kessel et Lazareff, grand reporter au Point,  et auteur de plusieurs livres dont « J'aurai de l'or » qui vient juste de paraître aux éditions Robert Laffont. Infoculture.com, et l'Est républicain.

La Ligue des Droits de l'Homme a fait savoir qu'elle soutenait le documentaire « La Fièvre de l'or » :
« Excellent documentaire sur les méfaits de l'orpaillage clandestin, et largement impuni, dans un département français. Le long du fleuve Maroni les orpailleurs détruisent activement la forêt amazonienne et exploitent une main d'oeuvre misérable venue du Brésil ou du Surinam voisins, pour un gain médiocre. Mais le désastre écologique, les violences des bagarres, des trafics de main d'oeuvre et de prostituées dissimulent le pire. Pour coaguler l'or contenu dans les alluvions il faut du mercure, qui arrive par bidons entiers et qu'on retrouve ensuite dans le fleuve et dans les poissons. Or c'est la nourriture animale presque exclusive des Amérindiens. Les enfants sont contaminés, ce qui entraîne des handicaps, des retards de croissance et des troubles nerveux. Hors d'état de lutter contre les orpailleurs et leurs dizaines d'aéroports clandestins, les autorités françaises nient le problème mais envoient la Croix rouge dissuader les Amérindiens de consommer les poissons du fleuve.
L'histoire nous a appris que les peuples qui vivaient dans des régions où l'on trouvait de l'or, du pétrole ou du caoutchouc étaient en danger de destruction. Le western ne doit pas continuer.»

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