« Je ressens une infinie tristesse à l’idée que les grands perdants de tout ceci restent les enfants des adultes qui se trouvent dans les rues des grandes villes de Guadeloupe », écrit Elisabeth Godon qui travaille actuellement en Guadeloupe, après avoir longtemps exercé en Guyane comme psychologue scolaire sur le Maroni. Personne ne peut rester indifférent à la crise qui s'éternise dangereusement en Guadeloupe, et encore moins celle qui a passé sa vie à l'écoute des jeunes, qu'ils soient du Maroni ou d'ailleurs. Dans le fil de la pensée des intellectuels guadeloupéens Jacky Dahomay et Georges-Christian Combé, c'est la psychologue qui se penche ici avec sensibilité sur des enfants qu'elle voudrait aider, et des parents qu'elle voudrait amener au dialogue, pendant qu'il en est encore temps. 
Lire la chronique d'Elisabeth Godon : Faudrait quand même pas passer à côté !


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