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Jodla 22/01/10
Sur les petits chemins de l'info...

Au sommaire de La Semaine Guyanaise, Haïti bien sûr. Un beau reportage photos de Jodly Amiet, dépêché sur place, et une chronique, toujours décalée et sensible, de André Paradis. 
A travers "l'affaire de la disparition de Myrtho Fowel", Frédéric Farine revient sur le dossier encombrant d'un grand absent de l'affaire "Léon Bertrand and co", avec une interview de l'épouse du disparu, et un aperçu des dysfonctionnements, petits et grands, qui entourent cette affaire. Jusqu'à l'arbitraire, qui consiste à ne pas mettre en vente la Semaine Guyanaise dans le magasin de Super U à Saint-Laurent. Et Frédéric Farine de conclure : « Pas de quoi s'affoler, non ? Bref, tout ceci atteste bien, une fois encore, qu'en démocratie, aucun citoyen n'est contre la liberté de la presse. Sauf quand il est concerné. »

Economie : un article au lance-flamme sur l'économie nationale, où la politique spatiale n'est pas oubliée, sur le site de Challenges.fr : Le suicide collectif en guise de politique industrielle. Dans interentreprises.com, Francette Rosamont s'interroge tous azimuths et dans le désordre : Le seisme d'Haïti remet tout en perspective.

Alors c'est oui ou c'est non ? Par courrier du 21 janvier, le Parti Socialiste Guyanais a fait part de son indignation à Nicolas Sarkozy concernant « la lettre de Mme la Ministre de l'Outre mer, du 16 janvier 2010, en réponse à une série de 10 questions que lui a posées Rodolphe Alexandre ». Un intervention ministérielle qui transgresse, selon le PSG, « l'égalité républicaine et les règles de démocratie ». Pour l'occasion, le PSG a rectifié son épouvantable logo (ci-dessus) porteur du pire symbole de la pensée coloniale, et qui servait d'en-tête à sa profession de foi du scrutin du 10 janvier dernier (une petite horreur passée d'ailleurs inaperçue...).

Un article dans le Monde : « En Guyane où plus de 15 % de la population est haïtienne, la campagne a tourné à la cacophonie. » : Guyane et Martinique votent de nouveau dimanche sur leur avenir institutionnel.

Après le refus du 74, Iamgold revoit sa stratégie...  dans la Presse canadienne : « A la lumière des résultats du référendum du 10 janvier dernier », Iamgold prévoit de provisionner une perte de valeur « de 85 à 100 millions $ US en raison, principalement, de l'incertitude au niveau politique entourant son projet Camp Caiman ». Iamgold aurait également réclamé « aux autorités locales » une indemnisation de 275 millions d'euros.

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