Blada.com

Jodla 16/06/10
16 juin : Sortie nationale d'« Orpailleur » - Bonne chance Marc !

Une bien lourde responsabilité pèse aujourd'hui sur les épaules du jeune et talentueux réalisateur guyanais Marc Barrat.
Parce que beaucoup voudraient faire d'Orpailleur un film culte contre l'orpaillage clandestin qui ravage la Guyane.

Même s'il faut admettre que la tentation est grande, même si la cause est noble, « Orpailleur » est avant tout une belle fiction qui doit pouvoir faire son chemin, non pas comme un film militant, mais d'abord comme le premier long métrage d'un futur grand réalisateur.
Bonne chance Marc ! en savoir +

La presse en parle...
Le Monde : "Orpailleur" : première exploitation infructueuse d'un gisement prometteur.
Afrik.com : Orpailleur : un film en or pour la Guyane.
Culture femme : « On a aimé : le rythme du film, le jeu des acteurs donc Tony Mpoudja (déjà vu dans La Squale) et surtout, la mise en avant d’un phénomène bien connu en Guyane, l’exploitation clandestine de l’or et les risques qui vont avec. Verdict : 3 étoiles sur 4. (B.C)»
Tout le ciné : « Premier film touchant et mélange des genres réussi ».
Bioaddict : « un film qui dénonce le fléau de l'exploitation illégale de l'or en Guyane ».
La Boite à sorties : « Dans un contexte fictionnel, le réalisateur Marc Barrat évoque avec habileté une multitude de sujets, et offre au spectateur la possibilité de s’interroger sur ses propres responsabilités en tant que citoyen ».
A voir à lire : « Le guyanais Marc Barrat dénonce les ravages de "l’orpillage" sur l’environnement à travers son premier film de fiction.»
Africultures : « Orpailleur reste un divertissement bien maîtrisé qui a le mérite de défendre clairement l'environnement face à la cupidité. »
Fredmusa : « le réalisateur a plus globalement cherché à faire en sorte que le spectateur puisse voir à quel point il existe un problème environnemental en Guyane. »
MaxiMini : « C'est un beau film, les guyanais ont apprécié de voir leur péyi sur grand écran mais le manque de moyens se fait toutefois ressentir. C'est un premier pas. »
Excessif : « Tour à tour documentaire et fiction, Orpailleur présente d'une façon tout à fait originale et pédagogique les problèmes posés par les sites d'extraction d'or »
Jeune Afrique : « Il frôle même de temps en temps le style Tintin en Amazonie »
Blog ciné des Echos : « il a le mérite de nous révéler à la fois le scandale d’une activité moyen-âgeuse et dévastatrice, et la beauté d’une contrée toujours mal connue.»