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Jodla 13/10/10
« Je veux continuer de travailler parce que je crois
que je suis né pour mourir sous le joug »

C'est bien parti pour sauver les 33 hommes engloutis au fin fond d'une mine du Chili. Impressionnant, magnifique, on ne sait plus à quel mot se fier. Mais au-delà de ce sauvetage exceptionnel avec des moyens presque ordinaires, une foule de questions arrivent en masse, noyées dans cette mondialisation de l'information qui a sans doute sauvé ces mineurs, trop régulièrement condamnés à crever au fond de leur trou dans l'indifférence. Parce que leur vie est, dans bien des pays, peu de choses en regard du coût de leur sauvetage (Le Monde : La dangerosité des sociétés minières sans foi ni loi). Ce que le deuxième mineur sauvé a d'ailleurs évoqué à mots prudents en appelant « à des changements dans le monde du travail, qui ne peut rester comme il l'est actuellement » (Le Figaro).
« Je veux continuer de travailler parce que je crois que je suis né pour mourir sous le joug », a encore déclaré Mario Antonio Sepulveda, le deuxième mineur libéré. Alors, si cette incroyable médiatisation peut aider à mieux approcher la condition humaine, nous saurons nous accommoder du lot de manipulations, de propagande politicienne, et de bondieuseries qui l'ont accompagnée. A nous de faire le tri !
Récit sans complaisance sur le site du Monde diplomatique : Au Chili, derrière l'euphorie médiatique, les hommes.

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