Le Syndicat des pêcheurs (PAPAP), soutenu par le Comité des pêches de Guyane (CRPMEMG), fait état d'un clash survenu le 25 janvier à la préfecture lors de la rencontre prévue avec l'Etat pour tenter de trouver une solution au problème récurrent du pillage de la ressource : « Il n'est plus possible d'occulter les cas quotidiens de pêcheurs qui se font braquer, ligoter, tabasser, menacer avec des armes à feu, dépouiller, voler, cela s'appelle : ACTES DE PIRATERIES. L'Etat est responsable de cet état de fait. »
	Lire le communiqué du PAPAP (pdf)


passer une petite annonce

passer une annonce de covoiturage


passer une annonce d’emploi







associations, postez vos actualités

participez au courrier des lecteurs
            
            Lancements 2022
Vol 259 Ariane 5