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Léon BERTRAND, Ministre délégué au Tourisme, manifeste de l’incompréhension à l’égard de certains de ses collègues de l’UMP qui souhaitent revenir sur l’article 2 de la loi du 21 mai 2001 tendant à la reconnaissance de la traite et de l’esclavage en tant que crime contre l’humanité.

Ayant suivi de très près les débats qui ont abouti à l’abrogation de l’article 4 de la loi du 23 février 2005, suite à son déclassement par le Conseil constitutionnel, Léon BERTRAND connaît l’ensemble des arguments développés, y compris par les historiens, pour faire un parallèle avec la loi du 21 mai 2001.

Il regrette que sous le couvert d’un « parallélisme des formes » certains puissent demander l’abrogation de l’article 2 de la loi du 21 mai 2001, en oubliant que ce qui importe le plus aujourd’hui, c’est de trouver dans ces questions de mémoire, une identité de fond, qui permettent à la société française d’avancer d’un même pas, en acceptant toute son histoire.

A la veille de la première journée des mémoires de la traite négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions pour tous les français, il faut rechercher ensemble les voies du dialogue et de l’apaisement

« Rendons les « positifs » et les « parallélismes » à l’algèbre et à la géométrie, la politique est avant tout, affaire de cœur et de valeurs ».

Ceci est un communiqué de Léon Bertrand, en date du 5 mai 2006.

Voir les raisons de cette intervention de Léon Bertrand dans la revue de presse de RFI

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