Ce n'est pas d'aujourd'hui que l'Afpa dysfonctionne, et ce n'est pas d'aujourd'hui non plus que la mission essentielle de formation des jeunes de Guyane n'est pas correctement remplie. Il appartient à chacun de nos responsables de s'interroger avec sincérité sur les raisons qui entrainent trop régulièrement la disparition progressive d'outils importants pour le développement de ce territoire. C'est ce que tente de faire ici Gérard Faubert, pour la part qui le concerne :
« Parti de l'Afpa le 3 mars 2011 et ce dans des circonstances très particulières, j'ai tenu après quelques semaines de réflexion à m'exprimer sur le sujet et m'employer via la presse et les medias guyanais à éclairer le public, et faire ainsi connaître ce à quoi se rapportent les raisons exactes de mon départ. » lire la suite (pdf)
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