Bonjour,
Tabebuia plus connu chez nous sous le nom d'ébène vert
adessias galinettes

Je ne cesse de m'émerveiller, chaque année, devant ces superbes fleurs.
Vient maintenant le temps des confitures et du sirop de Tabebuia. Très bon pour la gorge et dans le punch ! Avec modération bien sûr, et tant pis pour les esprits chagrins de ces derniers jours débattant sur l'alcool.

Cela fait une jolie moquette sous l'arbre, mais je n'ai pas essayé ! Je ne fume pas.

la vraie question par les temps qui courent étant : est ce que ces jolies fleurs se fument ?

Je ne cesse de m'émerveiller, chaque année, devant ces superbes fleurs.
Vient maintenant le temps des confitures et du sirop de Tabebuia. Très bon pour la gorge et dans le punch ! Avec modération bien sûr, et tant pis pour les esprits chagrins de ces derniers jours débattant sur l'alcool.

cadeau de la rentrée pour les déprimés, imaginez ce qu'il faut pour faire frissonner une girafe et vous avec ça :
http://www.youtube.com/watch_popup?v=GBaHPND2QJg&feature=youtu.be
mieux que toutes les diplomaties du monde pour garder la paix sur notre planète.

Il y a aussi ce Boléro en gare de Copenhague.
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=mrEk06XXaAw

Et celui-là, que des voix.
http://www.youtube.com/watch?v=SXh7JR9oKVE

Deux moments exceptionnels.
A regarder en plein écran, c'est encore plus magique.

Merci à toi.

pour ce partage, merci à toi, l'ami
Et même si les notes de musique de l’Amazonie
S’appellent bruissement, singe hurleur et kikiwis
Buse, souffle de la mer, criques et clapotis
L’homme a Beethoven et son génie .

Grand merci pour ce pur joyau, plus de 5 minutes de vrai bonheur - Vive l'hymne à la joie !

cadeau de la rentrée pour les déprimés, imaginez ce qu'il faut pour faire frissonner une girafe et vous avec ça :
http://www.youtube.com/watch_popup?v=GBaHPND2QJg&feature=youtu.be
mieux que toutes les diplomaties du monde pour garder la paix sur notre planète.

Il est bon de rappeler ici, que le grand tamanoir est une espèce intégralement protégé.Je dis ça parce que tu parles de chair(e).......bien qu'un rappel ne sert à rien, au vu des estomacs en maraude dans ce pays.
J'espère que l'ONC a été prévenu pour qu'il soit déplacé loin, loin de ces .......grilles et des estomacs aussi et justement.
Et sinon, il a une mauvaise vue, doublé d'une mauvaise ouïe, on peut pas être magnifique et avoir tout qui fonctionne au top, son odorat sort de la normal et pour cause.
Si t'es pas dans son nez, tu peux être approché de très très prés...........exceptée la Girafe qui elle a des mœurs particulières avec les tamanoirs.
On pourrait le penser handicapé , sauf qu'il est doté pour sa défense de griffes, capable d'éventrer un jaguar, donc éviter de lui mettre les noisettes.

Il me semble avoir mis"on dirait"...Je sais bien que la Guyane n'a rien à voir avec l'Afrique voyons ! Merci pour la leçon, même en vacances ta soif d'enseigner transpire!

Vu hier ce gros mammifere assez commun en foret mais quand meme inattendu à Matoury!
La photo n'est pas terrible mais désolé je n'ai qu'un vieux 300 et à 50m c'est vite petit meme si c'est gros (mon saki a été pris à 30m mais il etait plus petit)
Il faudrait au moins un 600mm avec une ouverture de 4, ça va chercher 200g d'or sans compter les calories pour le transporter!
En principe les données exif ont été gardées! (les photos ont été recadrée et réechantillonées par Irfanview)

Si près d'une grille...? c'est dans un zoo ? Sinon je ne donne pas cher de sa chaire. On dirait un éléphanteau avec sa trompe ! Il a l'air peu farouche.

Vu hier ce gros mammifere assez commun en foret mais quand meme inattendu à Matoury!
La photo n'est pas terrible mais désolé je n'ai qu'un vieux 300 et à 50m c'est vite petit meme si c'est gros (mon saki a été pris à 30m mais il etait plus petit)
Il faudrait au moins un 600mm avec une ouverture de 4, ça va chercher 200g d'or sans compter les calories pour le transporter!
En principe les données exif ont été gardées! (les photos ont été recadrée et réechantillonées par Irfanview)

Vu hier ce gros mammifere assez commun en foret mais quand meme inattendu à Matoury!
La photo n'est pas terrible mais désolé je n'ai qu'un vieux 300 et à 50m c'est vite petit meme si c'est gros (mon saki a été pris à 30m mais il etait plus petit)
Il faudrait au moins un 600mm avec une ouverture de 4, ça va chercher 200g d'or sans compter les calories pour le transporter!
En principe les données exif ont été gardées! (les photos ont été recadrée et réechantillonées par Irfanview)

Vu hier ce gros mammifere assez commun en foret mais quand meme inattendu à Matoury!
La photo n'est pas terrible mais désolé je n'ai qu'un vieux 300 et à 50m c'est vite petit meme si c'est gros (mon saki a été pris à 30m mais il etait plus petit)
Il faudrait au moins un 600mm avec une ouverture de 4, ça va chercher 200g d'or sans compter les calories pour le transporter!
En principe les données exif ont été gardées! (les photos ont été recadrée et réechantillonées par Irfanview)

C'est ce que j'appelle une chenille "arbre de noël" mon entomo de référence lui appelle ça une chenille de saturniidae, même famille que le papillon cendre donc. Il me dit toujours de n'y surtout pas toucher sous peine de me prendre une bonne pêche. Le papillon lui est cool, car seul l'hylesia est désagréable à l'état adulte.

Alors pas la peine de la destroyer...

Essaye voir sur google en image ; tape chenille ou caterpillar saturniidae, plein d'arbre de noël en reptation.

C'est ce que j'appelle une chenille "arbre de noël" mon entomo de référence lui appelle ça une chenille de saturniidae, même famille que le papillon cendre donc. Il me dit toujours de n'y surtout pas toucher sous peine de me prendre une bonne pêche. Le papillon lui est cool, car seul l'hylesia est désagréable à l'état adulte.

Alors pas la peine de la destroyer...

Essaye voir sur google en image ; tape chenille ou caterpillar saturniidae, plein d'arbre de noël en reptation.

Aux Bladanautes:
J’ignore qui elle est ? Sans doute pas papillon cendre.
Mais comment détruire une telle merveille ?

Aux Bladanautes:
J’ignore qui elle est ? Sans doute pas papillon cendre.
Mais comment détruire une telle merveille ?

Le jaguar traversant le Kourou, mais cette fois en vidéo. C'était hier 28 mai :
http://www.youtube.com/watch?v=B6kL5N9wsQg

Le jaguar traversant le Kourou, mais cette fois en vidéo. C'était hier 28 mai :
http://www.youtube.com/watch?v=B6kL5N9wsQg

bonjour,
normal ce devait être une jaguar
adessias galinettes
félicitations, pour n'avoir utilisé que l'appareil photo

Au retour de notre carbet, hier sur le Kourou, ce jaguar traversait le fleuve à une vitesse impressionnante.

Au retour de notre carbet, hier sur le Kourou, ce jaguar traversait le fleuve à une vitesse impressionnante.

Au retour de notre carbet, hier sur le Kourou, ce jaguar traversait le fleuve à une vitesse impressionnante.

Au retour de notre carbet, hier sur le Kourou, ce jaguar traversait le fleuve à une vitesse impressionnante.

Au retour de notre carbet, hier sur le Kourou, ce jaguar traversait le fleuve à une vitesse impressionnante.

Au retour de notre carbet, hier sur le Kourou, ce jaguar traversait le fleuve à une vitesse impressionnante.

Merci beaucoup d'avoir attiré notre attention sur ces petites abeilles. Depuis, je les cherche... Pouvez-vous me dire si celles que j'ai photographiées aujourd'hui sur des fleurs de palmier sont des abeilles mélipones ? Merci.
D'autres liens pour ceux qui sont intéressés : élevage de Mélipones au Mexique, Beekeeping.

Salut à tous,
Pour tous les passionnés de nature: découvrez les abeilles mélipones, partagez vos expériences, développez votre méliponaire, et protégez ce patrimoine naturel de l'Amazonie. Rendez vous sur le groupe de discussion : AMABEILLES.
http://fr.groups.yahoo.com/group/Amabeilles
Remplaçons l'oiseau en cage par une abeille libre.

Salut à tous,
Pour tous les passionnés de nature: découvrez les abeilles mélipones, partagez vos expériences, développez votre méliponaire, et protégez ce patrimoine naturel de l'Amazonie. Rendez vous sur le groupe de discussion : AMABEILLES.
http://fr.groups.yahoo.com/group/Amabeilles
Remplaçons l'oiseau en cage par une abeille libre.

Oui, bien vu le nouvel agenda!
Oh mais, je vais pas copier-coller ton post quand meme!
Qui a vu un saki ici? (Pithecia pithecia) j'ai pris quek photos c'matin mais comme l'individu était à 35m, meme avec un télé... bof!

C’est la période où j’aime rester en forêt jusqu’à l’heure où le jour abandonne son royaume à la nuit. A cette l’heure où la lumière décline pour assister au ballet des lucioles, minuscules led qui pointillent les buissons dans leur danse amoureuse.
Elles rivalisent de lueur et donnent à la forêt l’aspect des forêts des contes, des forêts enchantées.
Les chiens comme à leur coutume truffent plusieurs mètres devant moi.
Eux et moi, nous n’avons pas les mêmes préoccupations. Leur impatience dénote de ma marche en apesanteur.
Les buissons bruissent sur ma gauche, à deux mètres et mon esprit comme à chaque fois, pense « cochon bois » et le réflexe habituel, me fait chercher des yeux le premier arbre de secours, à droite à 4 m.
Et mes yeux reviennent au buisson, d’où émergent au ralenti, cette trompe velue qui fait tomber toutes mes gardes, Derrière le museau, long si long cette tête, bonne tête de peluche grise en forme d’entonnoir qui précède un corps effilé et une queue impossible.
Un grand tamanoir se glisse sur le layon avec une lenteur surprenante vu la bête inconnue – moi - qui se dresse à portée de narine. Bien moins grand que celui de ma précédente rencontre, celui que mes chiens avaient débusqué.
Il m’a vu sur sa droite et sa tête se tourne vers moi, si je tendais mes doigts, je pourrais lui caresser le nez.
Il continue au ralenti, à s’approcher.
Et là, je pense à la Girafe, et au câlin de son tamanoir . Je ne me sens pas prête à accepter de tendres enlacements par un animal de ce format et mes deux gardes du corps auraient vite fait de lui apprendre les bonnes manières.
J’étais là à trier toutes les questions qui se bousculaient dans ma tête, quand du buisson dont il avait émergé, un petit cri accompagné par un autre bruissement de feuilles. « Si le grand mâle est là, je reprends l’option arbre à 4 m sur la droite ».
Mon tamanoir toujours en mode ralenti s’est retourné et a rejoint le fouillis de forêt d’où il était sorti.
J’en ai profité pour doucement reprendre mon chemin, juste au moment où mes Tic et Tac revenaient oreilles au vent.
Je les ai bloqué au collier et j’ai attendu, silencieuse, eux tout autant immobiles, leurs truffes tournées vers les buissons où « ça » s’agitait toujours.
L’avantage avec les chiens d’arrêt, c’est leur faculté à se mettre sur le mode pause et de se statufier au moment opportun.
Nous nous sommes rapprochés, la distance tenait au double mètre pas plus.
Nous n’avons pas eu à attendre longtemps, Elle est ressortie de là où elle avait disparu, toujours aussi placide, sans signe extérieur d’inquiétude.
Elle tenait, juchée sur son dos, au bas des reins, un tout petit accroché par les griffes dans la toison épaisse implantée à cet endroit
Nous n’étions plus dans le vent. Nous étions juste d’étranges formes plantées là sur le chemin. Statufiés par le sort d’une ensorceleuse et de son enfant.
Ils ont disparu lentement, très lentement dans les fourrés en face, et bientôt craquements de branches et bruissements divers se sont estompés.
J’ai maintenu les chiens au collier durant un moment pour étouffer leur velléité de poursuite en même temps que je baptisais, la mère et son petit : Carla et Giula.
Le bonheur se reconnait à ces instants qui prennent la forme d'une éternité et de la joie d'avoir été invitée à partager cette éternité.

C’est la période où j’aime rester en forêt jusqu’à l’heure où le jour abandonne son royaume à la nuit. A cette l’heure où la lumière décline pour assister au ballet des lucioles, minuscules led qui pointillent les buissons dans leur danse amoureuse.
Elles rivalisent de lueur et donnent à la forêt l’aspect des forêts des contes, des forêts enchantées.
Les chiens comme à leur coutume truffent plusieurs mètres devant moi.
Eux et moi, nous n’avons pas les mêmes préoccupations. Leur impatience dénote de ma marche en apesanteur.
Les buissons bruissent sur ma gauche, à deux mètres et mon esprit comme à chaque fois, pense « cochon bois » et le réflexe habituel, me fait chercher des yeux le premier arbre de secours, à droite à 4 m.
Et mes yeux reviennent au buisson, d’où émergent au ralenti, cette trompe velue qui fait tomber toutes mes gardes, Derrière le museau, long si long cette tête, bonne tête de peluche grise en forme d’entonnoir qui précède un corps effilé et une queue impossible.
Un grand tamanoir se glisse sur le layon avec une lenteur surprenante vu la bête inconnue – moi - qui se dresse à portée de narine. Bien moins grand que celui de ma précédente rencontre, celui que mes chiens avaient débusqué.
Il m’a vu sur sa droite et sa tête se tourne vers moi, si je tendais mes doigts, je pourrais lui caresser le nez.
Il continue au ralenti, à s’approcher.
Et là, je pense à la Girafe, et au câlin de son tamanoir . Je ne me sens pas prête à accepter de tendres enlacements par un animal de ce format et mes deux gardes du corps auraient vite fait de lui apprendre les bonnes manières.
J’étais là à trier toutes les questions qui se bousculaient dans ma tête, quand du buisson dont il avait émergé, un petit cri accompagné par un autre bruissement de feuilles. « Si le grand mâle est là, je reprends l’option arbre à 4 m sur la droite ».
Mon tamanoir toujours en mode ralenti s’est retourné et a rejoint le fouillis de forêt d’où il était sorti.
J’en ai profité pour doucement reprendre mon chemin, juste au moment où mes Tic et Tac revenaient oreilles au vent.
Je les ai bloqué au collier et j’ai attendu, silencieuse, eux tout autant immobiles, leurs truffes tournées vers les buissons où « ça » s’agitait toujours.
L’avantage avec les chiens d’arrêt, c’est leur faculté à se mettre sur le mode pause et de se statufier au moment opportun.
Nous nous sommes rapprochés, la distance tenait au double mètre pas plus.
Nous n’avons pas eu à attendre longtemps, Elle est ressortie de là où elle avait disparu, toujours aussi placide, sans signe extérieur d’inquiétude.
Elle tenait, juchée sur son dos, au bas des reins, un tout petit accroché par les griffes dans la toison épaisse implantée à cet endroit
Nous n’étions plus dans le vent. Nous étions juste d’étranges formes plantées là sur le chemin. Statufiés par le sort d’une ensorceleuse et de son enfant.
Ils ont disparu lentement, très lentement dans les fourrés en face, et bientôt craquements de branches et bruissements divers se sont estompés.
J’ai maintenu les chiens au collier durant un moment pour étouffer leur velléité de poursuite en même temps que je baptisais, la mère et son petit : Carla et Giula.
Le bonheur se reconnait à ces instants qui prennent la forme d'une éternité et de la joie d'avoir été invitée à partager cette éternité.

C’est la période où j’aime rester en forêt jusqu’à l’heure où le jour abandonne son royaume à la nuit. A cette l’heure où la lumière décline pour assister au ballet des lucioles, minuscules led qui pointillent les buissons dans leur danse amoureuse.
Elles rivalisent de lueur et donnent à la forêt l’aspect des forêts des contes, des forêts enchantées.
Les chiens comme à leur coutume truffent plusieurs mètres devant moi.
Eux et moi, nous n’avons pas les mêmes préoccupations. Leur impatience dénote de ma marche en apesanteur.
Les buissons bruissent sur ma gauche, à deux mètres et mon esprit comme à chaque fois, pense « cochon bois » et le réflexe habituel, me fait chercher des yeux le premier arbre de secours, à droite à 4 m.
Et mes yeux reviennent au buisson, d’où émergent au ralenti, cette trompe velue qui fait tomber toutes mes gardes, Derrière le museau, long si long cette tête, bonne tête de peluche grise en forme d’entonnoir qui précède un corps effilé et une queue impossible.
Un grand tamanoir se glisse sur le layon avec une lenteur surprenante vu la bête inconnue – moi - qui se dresse à portée de narine. Bien moins grand que celui de ma précédente rencontre, celui que mes chiens avaient débusqué.
Il m’a vu sur sa droite et sa tête se tourne vers moi, si je tendais mes doigts, je pourrais lui caresser le nez.
Il continue au ralenti, à s’approcher.
Et là, je pense à la Girafe, et au câlin de son tamanoir . Je ne me sens pas prête à accepter de tendres enlacements par un animal de ce format et mes deux gardes du corps auraient vite fait de lui apprendre les bonnes manières.
J’étais là à trier toutes les questions qui se bousculaient dans ma tête, quand du buisson dont il avait émergé, un petit cri accompagné par un autre bruissement de feuilles. « Si le grand mâle est là, je reprends l’option arbre à 4 m sur la droite ».
Mon tamanoir toujours en mode ralenti s’est retourné et a rejoint le fouillis de forêt d’où il était sorti.
J’en ai profité pour doucement reprendre mon chemin, juste au moment où mes Tic et Tac revenaient oreilles au vent.
Je les ai bloqué au collier et j’ai attendu, silencieuse, eux tout autant immobiles, leurs truffes tournées vers les buissons où « ça » s’agitait toujours.
L’avantage avec les chiens d’arrêt, c’est leur faculté à se mettre sur le mode pause et de se statufier au moment opportun.
Nous nous sommes rapprochés, la distance tenait au double mètre pas plus.
Nous n’avons pas eu à attendre longtemps, Elle est ressortie de là où elle avait disparu, toujours aussi placide, sans signe extérieur d’inquiétude.
Elle tenait, juchée sur son dos, au bas des reins, un tout petit accroché par les griffes dans la toison épaisse implantée à cet endroit
Nous n’étions plus dans le vent. Nous étions juste d’étranges formes plantées là sur le chemin. Statufiés par le sort d’une ensorceleuse et de son enfant.
Ils ont disparu lentement, très lentement dans les fourrés en face, et bientôt craquements de branches et bruissements divers se sont estompés.
J’ai maintenu les chiens au collier durant un moment pour étouffer leur velléité de poursuite en même temps que je baptisais, la mère et son petit : Carla et Giula.
Le bonheur se reconnait à ces instants qui prennent la forme d'une éternité et de la joie d'avoir été invitée à partager cette éternité.