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Jodla 17/01/10
Sur les petits chemins de l'info...

Une marche de soutien pour Haïti est organisée dimanche à Cayenne. Départ à 10h du pont de Brutus (radio Mosaïque : tel 0594 30 80 83), passage devant la cathédrale Saint-Sauveur et fin de la marche devant le consulat d'Haïti. De nombreux Haïtiens de Guyane originaires du sud de l'ile, également touché, attendent encore des nouvelles de leurs familles.

« L'aide internationale arrive en Haïti mais elle tarde à s'organiser et les secours peinent à soulager une population désorientée, affamée, meurtrie.» sur le site de RFI : Urgence médicale à Port-au-Prince, et dossier spécial Haïti. Voir aussi les infos des lecteurs.

Un entrepôt situé au 3e RSMA, au camp du Tigre, a été mis à la disposition des ONG et autres associations pour y stocker les dons à destination du consulat d'Haïti (communiqué).

Pont du Larivot : La préfecture signale l'arrivée par avion du quadripode, avec l'Antonov, et de trois nouveaux bateaux supplémentaires (communiqué).

Un bel exemple à suivre : quand l'équipe de "Action discrète" noyaute un débat sur l'identité nationale. Vidéo sur Betapolitique.

Consultation populaire du 24 janvier : la préfecture a communiqué la liste des six partis et groupements habilités à mener campagne. Tous ceux qui avaient appelé à voter oui le 10 janvier vont désormais faire campagne pour le non, avec un non vaseux et blanc pour Walwari qui peine à trouver ses mots : « c’est dans deux mois, le 14 mars, que seront enfin traités les sujets qui traitent de votre quotidien et de l’avenir de vos enfants » (sic). Pour les FDG, ce sera deux fois non, et Gil Horth s'en explique sur son site. Les temps d'antenne devraient donc se trouver répartis avec un rapport de forces de 4 (pour le non) contre 2 (pour le oui). Les Nouvelles Forces de Progrès et l'AGEG nous ont fait connaitre leur position par communiqué. La position rigide et pauvrement argumentée de l'AGEG peut surprendre, après la réaction mesurée de Chantal Berthelot au lendemain de la consultation du 10 janvier : voir sur son site.
Une question brûle les lèvres : combien d'adhérents "à jour de leur cotisation" compte chacun des "partis et groupements" engagés dans cette campagne ?