En réaction au meurtre de l'ancien bijoutier de Sinnamary, Georges Patient a interpellé le ministre de l'intérieur sur l'aggravation de la criminalité en Guyane (communiqué) et Chantal Berthelot a adressé une question écrite au premier ministre « sur la situation inacceptable de la délinquance et de la violence en Guyane » (communiqué).
« Un crime lâche a été commis sur le sol guyanais », écrit le préfet Denis Labbé, tout en contestant la montée de la criminalité en Guyane : « Cet acte odieux ne doit cependant pas être regardé comme caractéristique de la délinquance en Guyane. »
Il est aussi vrai, reconnaissons-le, que les actes de violence extrême font beaucoup plus de bruit quand ils ne sont pas dirigés contre les petites gens. Pour ces derniers, l'indifférence est une longue habitude. Ajoutons même que la prévention de la délinquance est encore une utopie, et que le pire est à venir.
Autres réactions : L'AGEG, la municipalité de Sinnamary, Léon Bertrand, la municipalité de Saint-Georges de l'Oyapock.
Voir aussi un article dans France-Guyane : Homicide du bijoutier Paulin Clet.
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