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En réponse au message de Jcb du 29/09/18
Oui, vous avez raison, la dette est de plus en plus préoccupante, quoiqu'on ne voit aucun homme politique s'en préoccuper réellement. Même François Bayrou qui en avait fait (à juste titre) son cheval de bataille en 2007 n'en parle plus depuis qu'il soutient Macron !
Tous ces Enarques se révèlent incapables de gérer la maison France en bon père de famille, et heureusement que le Français moyen est plus avisé que ces"élites" (autoproclamées...)
Le Français moyen sait bien qu'il peut s'endetter pour préparer l'avenir et investir, mais en aucun cas pour régler les dépenses courantes, ce que les politiques n'ont toujours pas compris depuis plus de 40 ans qu'aucun budget n'a été en équilibre ! Qu'est-ce qu'on peut bien leur apprendre à Sciences Po ?
Bonjour JCB --- Je me demande toujours si tous ces énarques , sciences politicards et autres "Zélites" de bas étages gèrent leurs budgets personnels de la même manière qu'ils gèrent les budgets publics .
J'ai un début de réponse et presque la certitude que non ! Car la plupart arrivés "aux affaires" sans grande fortune terminent leurs parcours plein aux as ou en donnent bien l'impression au vu de leurs biens ...... , les biens connus , parce que les autres sont ...... bien cachés ........ mais ceux ci apparaissent par accident à l'occasion d'un contrôle fiscale par exemple . Ho! Surprise !
Il faut dire qu'ils ont une pression énorme de leurs "sponsors" qui ont payés leur(s) élection(s) et qui attendent d'eux un "retour sur investissement" par des lois qui les favorisent ou des investissements hasardeux de l'Etat qui seront perdus mais pas pour tout le monde.
Avec "remerciements" à la clé pour aide rendue par l'auteur du "coup de pouce" .
Un exemple entre milles : Quel est l'être psychiquement normal , possédant une entreprise monopolistique ultra rentable comme la Française des Jeux ...... Par exemple ..... et qui la vendrait?????
Et bien il y a à la tête de l'état un ou des psychopathes qui veulent le faire ! Les mêmes qui suppriment des aides au logement des plus pauvres ...... En leurs disant qu'ils coutent "un pognon de dingue" , comme les petits retraités d'ailleurs !!!
Et Aéroport de Paris (ADP) , avec la progression constante du trafique aérien , si ADP était à vous , vous vendriez ?
Si votre réponse est oui , je vous conseille de consulter rapidement un psychiatre !
Dans le cas d'ADP c'est Vinci qui est déjà désigné comme future "gagnant" de l'appel d'offre de "reprise" d'ADP ......
Il faut dire qu'ils ont perdu la construction de Notre Dame des Landes ....... Vous savez la ZAD du même nom où le gouvernement (enfin des mecs au ....) c'était engagés auprès de Vinci . Il faut donc absolument "dédommager" Vinci si non des "têtes" ne vont plus jamais être élues et au mieux se retrouver à la case placard .
Gardez le moral , la ripoublique est exemplaire .
Amicales salutations
En réponse au message de Koro du 04/04/16
Je doute que vous puissiez prouver que les médecins du CMCK touchent le double du CHAR !
Par contre, au service d'urologie par exemple, il y a trois médecins que se relaient, et qui travaillent ensuite dans un hôpital à Paris ! Ils ne sont donc pas en vacances le reste du temps !
Mais, assumant un service en Guyane sans interruption sur l'année, l'état reverse un pourcentage de leurs honoraires, afin d'encourager ainsi les médecins à s'installer en Guyane, ce qui est valable pour les cabinets de médecins généralistes également.
Sans doute, certains services du CHAR en bénéficient aussi. Pouvez vous donc justifier vos affirmations que je juge gratuites pour l'instant, dans l'attente du contraire.
La rumeur est notoirement connue : il n'y a qu'à lire ce qui est proposé dans les annonces spécialisées s'en convaincre.
http://www.annonces-medicales.com/emploi-medecin/medecin-interniste/CDI/offre
CENTRE MEDICO CHIRURGICAL KOUROU (CMCK) PIERRE BOURSIQUOT
Etablissement privé (PSPH) – 120 lits
Situé en bord de mer, à deux pas du Centre Spatial Guyanais et à 50 KM de Cayenne.
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Pour son service de Médecine Polyvalente
1 CDD de 4 mois
et
1 CDI
Le CMCK est géré par le Croix Rouge Française. Il dispose de 100 lits de chirurgie (Orthopédie, Viscérale, Urologie, Gynécologie, ORL), Médecine, Pédiatrie, Maternité 2A et d’un service d’Urgence SMUR.
Le service de Médecine dispose d’une vingtaine de lits. Les motifs d’hospitalisations dominant relèvent de la diabétologie, la gastro-entérologie, la pathologie infectieuse et l’oncologie. Le service est adossé à une unité de chimiothérapie ambulatoire et bénéficie de l’expertise de cardiologues. La patientèle est riche d’un grande diversité culturelle et linguistique.
Le candidat doit justifier d’une expérience hospitalière de la médecine polyvalente. Une expertise en diabétologie sera très appréciée.
Rémunération :
Salaire aligné sur la grille de la Convention Collective de la Croix Rouge Française, avec reprise de l’ancienneté depuis l’année de thèse, prime de cherté de vie (36% du salaire brut), treizième mois proratisé,
Prise en charge du billet d’avion, du logement et de la location de véhicule durant toute la durée du CDD.
Contact :
Docteur Olivier KLEITZ– Directeur
CMCK – BP 703 – 97387 KOUROU CEDEX
En réponse au message de 3wap du 09/02/16
Je plaide évidemment coupable pour cette naïveté effectivement risible, la faute sans doute, à quelques vilaines lectures: http://lafabrique.atheles.org/livres/imperium
"voir l’impossible sans désarmer de désirer l’impossible. C’est-à-dire, non pas renoncer, comme le commande le conservatisme empressé, mais faire obstinément du chemin. En sachant qu’on n’en verra pas le bout."
Et la foi donc, en cette idée que plutôt que de céder à l'attrait du "célafozélus", on peut aussi espérer que c'est aussi en agissant sur les structures (politiques) que l'on en fera évoluer les acteurs, et non pas l'inverse. Et c'est donc peut-être en élevant le niveaux des enjeux et des responsabilités (sur la gestion du foncier entre autres) que les plus aptes finiront par s'extirper du marécage, tandis que les autres finiront par trébucher du simple fait de la mobilité. D'où mon scepticisme sur ce contexte végétatif hérité de l'époque coloniale. Mais je conviens très volontiers qu'il faut avoir la foi... En en attendant, et toujours en évitant de trop regarder vers l'agriculture (decidément)... Il ne me paraît pas tout à fait juste de dénigrer systématiquement l'action de l'EPAG, lorsque qu'il en résulte aussi une grande partie de la production de logements actuelle, et donc du développement économique qui en découle. Les principaux bénéficiaires du foncier, bailleurs sociaux et promoteurs privés, et in fine leurs locataires et nouveaux propriétaires, n'ayant pour le coup pas systématiquement le profile des petits copains.
Mes respects pour vos lectures, mais le « dépérissement de l’Etat » n'est pas un idéal, le conservatisme n'est pas le renoncement et Spinoza ou pas, la multitude a de moins en moins de puissance et ordinairement elle ne devient pas le droit.
Quant au « communisme de la raison » (beurk!) il peut être par exemple l'individualité et non pas l'horizon d'une idée quelconque. Si le « faire obstinément du chemin » veut dire optimisme ou principes, ça me va.
Pour parler des choses audibles, vous simplifiez trop les choses. Ni celafotaléta ni "célafozélus". J'ai parlé d'une mystification dont chacun est victime, sauf les vrais corrompus, plutôt rares. Il s'agit d'une impasse idéologique. Le comportement des élus vient de là, ils ne sont pas pires qu'ailleurs. Ils s'adaptent, comme chacun. Mais ils s'adaptent à pire qu'ailleurs...
Comment voulez-vous agir sur les structures politiques sans les acteurs que sont les politiques ?
Vous envisagez d'élever le niveaux des enjeux et des responsabilités (en cédant le foncier) pour que les plus aptes se distinguent ? Vous êtes décidément très idéaliste.
L'administration du foncier n'est qu'un frein ponctuel pour votre secteur, vous dites. Il en va différemment pour l'agriculture, c'est ainsi que vous ne perdrez pas de vue l'agriculture en parlant du foncier. Le foncier s'appréhende à travers l'agriculture.
Vous ne pouvez pas non plus détourner le regard de l'établissement d'aménagement, à cause de son rôle central et ses prérogatives uniques en France. Il me semble douteux de vouloir confondre dénigrement et l'évocation des faits, articulons donc avec soin.
L'activité de l'EPAG sur le terrain des constructions n'est pas en relation directe avec la question du foncier. (Mais vous pouvez toujours remarquer que le rythme des constructions reste insuffisant, le nombre des nouveaux logements/an n'a jamais atteint la moitié des besoins chiffrés, d'où une accumulation constante du déficit de logements. Mais ce n'est pas le sujet.)
Quant au dénigrement, il ne vaut que s'il est l'oeuvre de soi-même... Cette histoire d'appel d'offre... Il serait bon de savoir quelque chose sur cette affaire d'appel d'offre, car ça jase sérieusement – avant qu'elle ne soit enterrée. Ne vous le trouvez pas, 3wap? Ce n'est pas moi qui ai fait sortir de ses gonds M. Spitz le 3 décembre dernier, mais un rapport sur cet appel d'offre en double.
Le silence règne... règne... dans une Guyane assourdissante.
Souligner comme vous faites l'évidence comme quoi les bénéficiaires finaux des constructions n'aient pas systématiquement le profil des petits copains est encore une confusion bizarre et déplacée.
En réponse au message de 3wap du 02/02/16
J'aime bien l'ambivalence de votre observation. Il est en effet vrai que d'un côtė certains se bercent sans doute d'illusions, en immaginant qu'un tel transfert suffirait à rendre nos collectivités foncièrement plus prospères ou meilleures gestionnaires. D'autres en revanche accordent peut-être trop d'importance à la chose en n'y voyant qu'un risque certain de dérive clientéliste. Une crainte pas complètement dénuées de fondement pour autant. Mais que pèse l'argument lorsque d'autres (vous en l'occurence) nous exposent l'injustice de certaines situations (régularisation de squatteurs contre expulsion de légaux) sur le foncier "géré" par certains établissements publics?
Il n'en demeure pas moins qu'une telle exception héritėe de l'époque coloniale, une de plus, mais dans une telle proportion (90 %)...ne manque pas d'interpeller. Et pour aller sournoisement dans votre sens, effectivement, est-il donc si important que l'Etat conserve autant de foncier privé en Guyane? Pourquoi ne pas en refiler une partie bien choisie à la nouvelle collectivité unique pour comparer, en terme d'efficacité et d'équité, ce qui pourrait en être fait?
Les injustices et d'autres aberrations qui constituent le prétendu « problème du foncier » de la Guyane et minent son développement économique – et non seulement agricole – proviennent de la même incompétence et de la même prévarication généralisées, voire érigées en règle.
Ainsi, les injustices habituelles de la « gestion » du foncier par un « certain établissement public » sont indissociables du clientélisme et de l'incompétence. Ces injustices y sont intrinsèquement liées, tout comme en sont issus l''insécurité rurale très à la mode (cf Wayabo), le nombre des cancers, les carences agricoles insolvables, la pénurie du logement etc.
Tous ces problèmes ont la même origine, ce qui fait que la propriété de la terre guyanaise n'importe absolument pas. Etat ou Comité de Théodule, du pareil au même. Vous pouvez me croire, j'en sais quelque chose.
Le fait que l'Etat possède autant de foncier en Guyane est naturel à l'origine, au regard de l'Histoire et de la vidange du pays : quelques 900 Amérindiens en 1946. Il s'agit d'un héritage colonial, oui, mais c'est un héritage colonial en soi parfaitement anecdotique qui ne devrait poser aucun problème.
Le problème n'est pas que l'Etat possède 95 % du territoire, le problème est qu'il ne sait que faire avec. En Guyane, l'Etat veut être gestionnaire. Seulement il n'y arrive pas, ce qui est tout à fait normal, mais « l'Etat » ne comprend pas non plus pourquoi – ce qui est tout à fait normal aussi, car nous sommes en France. C'est anthropo-logique.
Parallèlement, il échoue aussi dans ses fonctions régaliennes et ces deux échecs débouchent automatiquement sur la situation du pays que vous connaissez.
C'est la raison pour laquelle j'ai dit il y a quelque temps que l'Etat a les rotules par terre devant la question du foncier en Guyane. Il ne s'agit pas de se tirer une balle dans le pied. En Guyane, l'Etat s'en tire des rafales, des balles explosives et du gros calibre. C'est stupéfiant. Ce n'est plus une obstination dans les erreurs, c'est une rage d'échouer.
Pourquoi ne pas en refiler une partie bien choisie à la nouvelle collectivité unique ? Parce que, je le répète, la racine des difficultés de gestion est la même. Parce qu'il est tout à fait inutile de « comparer, en terme d'efficacité et d'équité, ce qui pourrait en être fait ». Lettré que vous êtes, avez-vous réellement besoin d'expérimenter ? Combien de siècles encore ?
Les élus ont déjà prouvé leurs capacités, car le « certain établissement public » est co-géré en parfaite harmonie par les bureaucrates et les élus, depuis 1998. Le foncier de l'EPAG lui appartient en propre et non pas à France Domaine. Ainsi, les élus guyanais ont démontré tout ce qu'ils savent faire avec un foncier à leur disposition, présidant depuis toujours le CA de l'EPAG. Vous connaissez le résultat. Au demeurant, s'ils représentent si bien et réellement l'intérêt général, demandez-leur des nouvelles de la toute dernière surperformance de notre établissement public d'aménagement en matière d'appels d'offre... Cette histoire de l'appel d'offre à l' IRD – Monsieur X, qui devrait être rendue publique. En démocratie, j'entends.
Que pourriez-vous supposer de la part d'une collectivité dont les maigres finances sont pourries à la racine (octroi de mer) et qui annonce comme programme la distribution de combien ? 100 000 ou 200 000 hectares pour « l'agriculture » en pur saccage d'une telle forêt ? Arrêtez...
La Guyane connaît un héritage colonial infiniment plus dangereux que la possession de la terre par l'Etat. Un héritage insidieux qui constitue la Racine des problèmes de la Guyane dont elle est prisonnière. Les bureaucrates comme les élus n'en comprennent rien.
En réponse au message de Frautosaure du 06/08/15
bon alors là je t'arrete direct ....et je suis monté au creneau pour des prunes .....suivant les informations de bonpom il s'agit d'un service volontaire ce qu'on appelait dans le temps volontaire service long et ce n'est donc pas une offre d'emploi.....les choses ont changé puisque le service militaire n'est plus obligatoire.....donc logiquement celui qui habite ici n'a pas d'indemnité logement.......de mon temps c'etait une cartouche de gauloises troupes et un billet de 320 francs avec un bon coup de pied au cul pour marcher droit metro martiniké guada guyanais tout le monde dans le meme panier.......alors effectivement c'est pas le top mais c'est quand meme mieux qu'avant......faut rester coherent et ne pas melanger du volontariat avec des offres d'emplois....faut bien comprendre que tu vas pas faire fortune chez medecins sans frontieres par exemple......et c'est pas des offres d'emplois c'est une base de volontariat ou le moyen d'effectuer un service civique......
MDR
ce n'est pas vous qui li y a peut de jours vous indignates sur les termes de cette annonce?
Je vous cite
completement aberrant qui a redigé cette offre? deja c'est au ras des paquerettes.....n'importe quel gazier va bosser sur les chantiers.....bac +2.....vous foutez de la gueule de qui? en plus pour un p'tit gars de l'exterieur les frais logement sont pris en charge ..........tu vas rire polo j'ai un bac +2 dans les metiers demandés et j'ai de lointaines connaissances en sylviculture.....c'en en presque ridicule de connerie faut habiter chez papa maman sinon tu creves.....meme le mec qui debarque de metropole va etre obligé d'accumuler des jobs pour tenir......... c'est pas des emplois c'est des traquenards.....et le fait de faire une difference entre le metro et le local est une insulte....j'en reviens au smic outremer a l'epoque 6 franc de ,moins de l'heure......je sais pas qui tu est polo et si t'as les moyens d'attaquer l'etat mais c'est une annonce deliberement discriminatoire prend un avocat et rentre leur dans la gueule et fais leur la peau!!
En réponse au message de Polojouve du 05/08/15
il s'agit simplement d'une annonce d'emploi discriminactrive de part son niveau de rémunérartion. POINT
Maintenant; ce peut étre un bon point de depart de dissertation.
pourquoi pas en théme : PENSEZ VOUS QUE LE SALAIRE EST UN MOTEUR D'EPANOUISSEMENT;
bon alors là je t'arrete direct ....et je suis monté au creneau pour des prunes .....suivant les informations de bonpom il s'agit d'un service volontaire ce qu'on appelait dans le temps volontaire service long et ce n'est donc pas une offre d'emploi.....les choses ont changé puisque le service militaire n'est plus obligatoire.....donc logiquement celui qui habite ici n'a pas d'indemnité logement.......de mon temps c'etait une cartouche de gauloises troupes et un billet de 320 francs avec un bon coup de pied au cul pour marcher droit metro martiniké guada guyanais tout le monde dans le meme panier.......alors effectivement c'est pas le top mais c'est quand meme mieux qu'avant......faut rester coherent et ne pas melanger du volontariat avec des offres d'emplois....faut bien comprendre que tu vas pas faire fortune chez medecins sans frontieres par exemple......et c'est pas des offres d'emplois c'est une base de volontariat ou le moyen d'effectuer un service civique......
En réponse au message de Polo du 01/08/15
Avec ce qui suit tout est dis; c'est vrai que les guyanais ne paient pas de loyer; ne mangent pas (ou que du manioc); paient l'essence moins chére; etc etc......
L'ONF recherche pour son service Sylvétude un ou une chargé(e) de mision environnement dans le cadre d'un contrat de VSC - durée hebdomadaire 35 h - Profil BAC + 2 minimum en environnement - Compétence justifiées (diplôme et/ou expérience ), - Salaire 1 455,17€/mois net, pour les résidents métropolitains (indemnité de base 738,15€ brut + indemnité de logement 822,54€) - pour les résidents Guyanais 738,15€ brut.
completement aberrant qui a redigé cette offre? deja c'est au ras des paquerettes.....n'importe quel gazier va bosser sur les chantiers.....bac +2.....vous foutez de la gueule de qui? en plus pour un p'tit gars de l'exterieur les frais logement sont pris en charge ..........tu vas rire polo j'ai un bac +2 dans les metiers demandés et j'ai de lointaines connaissances en sylviculture.....c'en en presque ridicule de connerie faut habiter chez papa maman sinon tu creves.....meme le mec qui debarque de metropole va etre obligé d'accumuler des jobs pour tenir......... c'est pas des emplois c'est des traquenards.....et le fait de faire une difference entre le metro et le local est une insulte....j'en reviens au smic outremer a l'epoque 6 franc de ,moins de l'heure......je sais pas qui tu est polo et si t'as les moyens d'attaquer l'etat mais c'est une annonce deliberement discriminatoire prend un avocat et rentre leur dans la gueule et fais leur la peau!!
En réponse au message de Koro du 22/04/15
La seule solution c'est celle de l'Australie: zéro immigration !
http://www.marianne.net/liberation-offre-paquet-cadeau-marine-pen-100232957.html
EXTRAIT: Quand le chômage est au niveau que l’on sait, comment ne pas se poser la question de l’accueil de personnes à qui l’on ne pourra fournir ni travail ni logement ? Comment ignorer les problèmes d’insertion et de cohabitation, y compris avec les immigrés déjà présents ? Comment ne pas voir que le FN fait sa pelote d’une telle situation en nourrissant des réflexes xénophobes et racistes ?
Mais il ne fait pas bon poser ces questions dans des milieux où l’on ignore tout des problèmes liés aux mouvements de population non contrôlés. Mieux vaut continuer à prêcher des bons sentiments et à rentrer dans des quartiers où il n’y a pas d’immigrés, sauf pour garder les enfants, vider les poubelles, et laver la vaisselle au black dans des restaurants où l’intelligentsia bobo prend ses quartiers d’été.
Sur le trottoir d’en face, Marine Le Pen peut sourire.
Un T2 à 1050€ mensuel........... Hop un coup de meublé et autres joyeusetés, une localisation dans une zone "résidentielle" et voilà qui justifie des prix... Résidentiels ?... L'annonce N°382105 est une belle offre...
Je ne me souviens pas que l'Arc de Triomphe trônait dans cette commune et que la Tour Eiffel était à 5 minutes du bowling... Les gens exagèrent et profitent de la situation terrible... C'est cela le capitalisme...
En réponse au message de Weenana du 10/11/14
J'ai vu le coup de chaud du maire de Kourou, M. Ringuet suite à l'agression barbare dont a été victime une dame de 80 ans........................agressée à coup de pied de biche. Glaçant rien que d'y penser. Quel sous-homme peut s'en prendre avec une telle violence à une femme aussi âgée. Les barbares sont parmi nous.
M. Ringuet nomme comme facteur "aggravant" : la politique politicienne menée la garde des sceaux.
Suis moins uni-focale, parce que : y'a pas que.
Nous sommes au summum des superlatifs : sous effectif, sous moyen, sous financement, sous volonté, sous professionnalisme.
Pourtant (à mon humble avis) des actions directes et immédiates pour reprendre la place de l'autorité dans les communes. Une présence visible dans les quartiers et des sanctions immédiates.
En mode : On arrête la musique , la fête est finie.
Pour prendre un exemple facile (dédicace à Magaling) - le bruit - dans la jungle des incivilités constantes dont nous connaissons tous les responsables : les membres de la secte "je fais chier les autres" , en est une qui ne devrait même pas nécessiter que les victimes se manifestent (par d' hypothétiques enregistrements de plaintes).
Parce que le bruit, t'as pas besoin que quelqu'un te dise qu'il y en a, la chaine HIFI qui beugle, la voiture sono qui dégueule ses décibels à toutes heures du jour et de la nuit, si t'es pas toi même sourd, t'entend.
Même de et dans la rue.
Ou alors tu ne veux pas entendre mais dans ce cas, tu n'es pas à ta place dans ton boulot.
D'où question : Pourquoi les responsables de la tranquillité (les maires et leurs services de sécurité) de leurs administrés n'entendent-ils pas les tapages diurnes et nocturnes ?
Pourquoi faut-il leur téléphoner pour leur dire qu'il y a du bruit ? Puisque tout le monde autour de la source, l'entend ?
Bah ! t'es trop bête weenana, parce qu'ils sont pas là.
L'opéra qui se joue se nomme : " L'abandon des habitants aux hordes barbares".
Bon, après ce qui m'étonne c'est que tu t'étonnes si y'en a qui pètent les plombs et tirent dans le tas.
Multiplie X infractions (68 € paiement immédiat - 180 € au delà) par la fréquence de celui-ci , ça te donne X milliers d'euros qui tombent directement dans la caisse de la commune où sévissent les auteurs.
Et si vraiment, mais vraiment le contrevenant est un borné de chez borné parce que les poches pleines de billets gagnés par ......................(à compléter par votre imagination)
La Loi offre la possibilité de la confiscation de l'objet du délit (la chaine HI-FI, la voiture sono)
et là, je lance les paris, à la première voiture sono confisquée, nos jours et nos nuits seront bien plus douces.
bonjour,
il y a également une solution intéressante, c'est de demander son avis à la Sacem...cet organisme collecteur est chargé de défendre les intérêts des gens du monde de la musique : compositeurs, chanteurs, musiciens, producteurs, bref, tout le monde du monde musical est concerné par la Sacem, et ses retombées financières.
en Guyane, il y a une antenne de la Sacem. il est possible d'aller poser la question à cet organisme s'il est normal que l'on puisse procéder à de la diffusion sonore en public, puisque de fait c'est le cas.
il sera ensuite possible d'aller constater sur site la réalité de la diffusion d'oeuvres sonores sans déclaration ni paiement de droits de diffusion en public.
je pense que si l'on est assez concerné pour présenter la chose intelligemment, il est possible de faire bouger les choses par ce biais.
je pense qu'il est même possible de travailler en free-lance pour cet organisme, et de relever les oeuvres jouées. la demande de paiements des droits de diffusion pourra se faire ensuite par échange de courriers.
cette problématique est également applicable aux automobiles.
concernant les maisons, celles-ci sont alimentées en électricité.
si l'on imagine qu'un hypothétique électricien viennent ouvrir le coffret électrique que l'on trouve en limite de propriété, alors il serait en mesure de couper l'électricité de cette maison en actionnant le disjoncteur de branchement, ou alors en retirant les fusibles situés dans le boitier adjacent.
ces solutions sont illégales, radicales, je déconseille leur mise en oeuvre, bien évidement ;-)
surtout qu'elles ne s'appliquent que difficilement dans un immeuble. quoique.
les gaines techniques des immeubles récents hébergent les compteurs, ainsi que les disjoncteurs de branchement. les règles EDF prescrivent que ces gaines techniques ne soient pas fermées à clef.
si l'on a de l'imagination, on est en mesure de penser au scénario suivant :
pour les logements collectifs, un simple feu de papier peut nécessiter l'intervention des pompiers, qui inonderont le logement concerné par le problème ; dans le même temps, ils auront réglé le problème musical.
il faut par-contre obtenir l'assentiment des voisins, que l'on va évacuer, et que le voisin du dessous soit d'accord.
une éventuelle intervention de la police ou de la gendarmerie n'est pas à exclure, et pourra accessoirement aider à générer une atmosphère de calme et de détente.
vous l'aurez compris, ceci est le début d'un scénario de film, dont je laisse les droits intellectuels à qui les prends
sinon, il est aussi possible de prendre des contre-mesures sonores....il faut une sono largement supérieure à celle du gêneur, et une assemblée de voisins déterminés à faire la fête en face du logement concerné
vous l'aurez compris, ceci ne serait que le prélude à une guerre civile.
il ne reste que la Loi.
En réponse au message de Gilles Slm du 17/06/14
Là, je vous suivrais mieux, sur les gros groupes de BTP qui n'ont ici qu'une antenne, et qui délègue à des sous traitants, qui eux mêmes sous-délèguent leurs contrats,...
Mais les gros groupes ont la capacité financière nécessaire, et quand les donneurs d'ordre ne respectent pas les délais de paiements, ceux sont eux qui mettent la main à la poche, pour payer les situations.
Bien sûr, ç'a fait toujours bien sur un panneau d'écrire : "Ici, construction de 480 logements sociaux". Sans se préoccuper de savoir si les budgets sont là, et sans verser un fifrelin à la signature du marché. Surtout, sans se préoccuper de savoir comment va être mener ce marché.
Alors, les gros groupes ramassent le marché, et les petites fourmis de chantier trinquent.
bonsoir,
vous citez un exemple précis, nous allons donc l'utiliser : "ici, construction de 480 logements sociaux".
vous êtes de St Laurent, je suppose que ce chantier est à St Lô. bon, ok.
vous dites : les donneurs d'ordres, parfois, ne payent pas les situations des entreprises à ,temps.(dans le BTP, une "situation" est une facture intermédiaire qu'une entreprise présente, afin de se faire payer le travail qu'elle vient de réaliser (un chantier dure 1 à 2 ans, une entreprise n'attendra pas 2 ans pour se faire payer)
vous dites également que parfois, des chantiers sont entamés sans que les crédits ne soient alloués.
ok
dans le principe, vous avez raison, car ça semble effectivement se passer comme ça.
et puis, il y a tout ce qui se passe en "coulisses", dans les bureaux des décideurs, et cela, parfois, ça requiert un sacré travail. en général, ce travail est même préparatoire : on lance une opération si on a la certitude d'avoir l'argent. sinon, on ne fera rien.
pourquoi ? parce que les bailleurs sociaux (les donneurs d'ordres qui vont construire les 480 logements) n'ont pas d'argent en propre, ils dépendent de la générosité des Citoyens pour fonctionner : en effet, "à la base", un bailleurs social emprunte de l'argent à la Caisse des Dépôts et Consignations (alimentée par les Citoyens) pour réaliser ses opérations de constructionns.
ça, c'est le principe.
évidement, les ressources financières des B.S. sont multiples, puisque la demande excède l'offre...donc, ils vont se servir des autres possibilités légales : montages de dossiers de prêt auprès d'autres organismes financeurs (ne serait ce que lorsque la Région Guyane garantit un prêt à tel BS...) , montage de dossiers de défiscalisation etc etc etc....
une fois qu'ils ont la certitude que l'argent rentrera à telle et telle date, selon tel et tel calendrier, elles lancent leur opération.
je le répète : elles ne disposent pas de fric à elles, elles dépendent complètement des autres.
pas de pognon, pas de maisons.
et arrivent les impondérables :
- c'est la crise, il y a moins de pognon disponible alors que les besoins augmentent encore plus vite que normalement
- les investisseurs en défisc. ne viennent plus, ils ont décidé de faire autre-chose de leur pognon (vous savez, les mecs dont je parlais, qui préfèrent investir dans d'autres horizons)
- le chantier a du retard, et les mecs de la défisc. ont besoin que le chantier soit arrivé à tel ou tel stade pour débloquer les fonds...
on va parler juste de ces 3 impondérables, ça suffira.
1) la crise : les gens s'appauvrissent, ils ont plus besoins de logements. comme ils s'appauvrissent, ils ne peuvent plus investir -dans l'avenir du pays- (càd alimenter la caisse de consignation et de dépôts) : le sujet, on l'esquive, contre la crise, y'a rien à faire. si le BS ne paye plus, faut serrer les dents, et attendre que ça passe, en espérant ne pas en crever.
c'est comme ça, personne, absolument personne ne peut rien contre ça.
2) les investisseurs qui se défilent : ben oui, le client décide de ce qu'il veut acheter...si le défisqueur décide que dans un autre bled, son argent fera plus de petits, on ne pourra pas l'en empêcher. on lui dira même qu'il a raison, espérant garder le contact avec ses bureaux.
mais un investisseur qui se défile peut, aussi, être par exemple l'Etat qui ne fait pas son boulot de verser les dotations en temps et en heures (aux régions, aux BS, aux départements etc etc etc) mais bon, en général il a des excuses, dans la mesure où ce pognon non-affecté và servir à alimenter le budget exceptionnel d'une quelconque catastrophe qui nous tombe sur la gueule, et comme on a pas de pognon de côté en france, mais plutôt de la dette, la moindre annicroche au "plan" initial fait qu'on a pas de plan B, et donc tout s'arrête.
ça aussi, c'est un impondérable contre lequel on ne pourra rien faire, strictement rien.
comme l'autre en haut.
3) le chantier prend du retard : ben oui ça arrive un chantier en retard....je ne connais que ça d'ailleurs, malheureusement. parfois même 1 an 1/2 de retard, c'est affolant.
il y a plein de raisons à ça...les entreprises sans réelles compétences dont je parles dans un autre message (économie) en sont une raison, parfois il s'agit d'impondérables climatiques mais bon, là on des raisons valables, mais en général c'est surtout dû à un manque de savoir-vivre-sur-un-chantier-avec-les-autres-entreprises. il faut revoir dans ce cas précis : la coordination entre corps d'état, éliminer les entreprise défaillantes, ne plus les faire travailler, ni travailler avec elles, adopter des techniques de planification de chantiers, et surtout, mettre les moyens pour suivre le planning.
mais je dois avouer qu'avant que tout ça ne soit arrivé, les défiscaliseurs qui ont besoin, par exemple, que vos 480 logements soient clos (donc qu'ils aient portes et fenêtres) et couverts (qu'ils y ait le toit complet) ce seront enfuis en courant, car pour eux aussi le temps est important :
il faut que l'opération soit à tel stade de finition à telle date, afin qu'ils puissent verser leur argent, afin de satisfaire les gens qui leur donnent les moyens de réaliser leurs opérations de défiscalisation. en économie, pafois, il faut que des budgets soient débloqués pour que d'autres soient alloués !
imaginez un client qui veut investir, qui vous donne du pognon, et il revient pour prendre les bénéfices, et vous redonner du pognon pour refaire des bénéfices, et vous lui dites "monsieur, je n'ai même pas encore faire le moindre bénef', ni accordé le moindre prêt"....le type devient fou, et s'en và.
fini.
donc, au vu de ces quelques exemples, on voit que malheureusement tout repose sur le respect du plan....pour tout le monde.
et que les intervalles de jeu sont très très serrés, il faut donc être hyper vigilant sur tout quant on mène un chantier dans ces conditions.
si je savais tout ça, si j'étais un entreprise, je me méfierais avant de prétendre y arriver à 4
parce que les mecs d'en haut, ils sont en haut, et que eux ont absolument toutes les excuses pour expliquer à tout le monde que ce n'est pas de leur faute.
ça a toujours été comme ça, ça ne changera pas, à moins qu'on adopte le mode de vie communautaire, où chacun et chacune auraient les mêmes droits. on y est pas.
" La pause fiscale " un véritable massacre. Les députés socialistes et leurs alliés verts ont voté cette nuit la taxation à 15, 5% avec effet rétroactif sur 15 ans sur les contrats d’assurance vie, plans d’épargne actions, plan d’épargne logement (taxation passée de 0,5% en 1996 à 15, 5% maintenant et applicable immédiatement). Ils sont complètement déphasés dans cette majorité et perdent totalement le nord. Ce matin, sur LCI, lors d’un débat à ce sujet, le président des jeunes socialistes qui n’est pas un gamin (28ans) ne cessait de parler de la classe populaire. D’accord, ces petites gens nous devons faire en sorte de les rehausser sur le plan économique, intellectuel, culturel et moral, mais entendre ce président des jeunes socialistes haranguer que la classe populaire, elle, n’a pas les moyens de faire des placements est complètement débile. Qui font ces placements ? Les classes moyennes évidemment et que fait-on de cet argent, car le dit président s’imagine qu’il est conservé dans les coffres forts des banques et bien il est aussitôt investi dans les petites et moyennes industries, donc pour créer de la richesse et de l’emploi.
En réponse au message de Weenana du 28/09/13
Autant il serait compréhensible que la construction sur une -parcelle jardin - se limite à un carbert dans le sens traditionnel de celui-ci; Ont-ils eu peur que se reproduise la "culture" de l'habitat pour rentier en lieu et place de tous les frais et légumes que la terre n'aura pas donné ? De même, il serait normal de laisser l'agriculteur construire sa maison sur sa parcelle, il fait quoi sinon, il s'occupe de son labeur et se transporte vers une ville dortoir pour agriculteurs ? Sinon pourquoi des logements sociaux à Wayabo ? Pour délocaliser la misère ?
Une construction ne peut se limiter à un carbet, même s'il est "traditionnel", la réglementation ne connaissant pas ce genre de chose. Aussi, il serait bizarre de tolérer des "carbets" alors qu'ils sont démolis ailleurs.
Mais la question ne se pose pas puisque les parcelles-jardins n'ont pas vu le jour et aussi parce que cette interdiction envisagée visait précisémment l'impossibilité d'y habiter. Vous pouvez imaginer des "parcelles-jardins" (jardins familiaux?) cultivées - ou simplement entretenues - à distance, dans la belle campagne guyanaise... C'était la première aberration.
La deuxième aberration de l'interdiction envisagée se trouve dans la manque criant de logements en Guyane. La construction légale devrait être promue, inutile d'en disserter. Et voilà... La motivation de certains "décideurs" est réellement mystérieuse et le sera encore plus si une urbanisation voit le jour au même endroit...
Dommage que la zone n'ait pu devenir un petit quartier résidentiel sympa, à l'abri des nuisances de la ville. (Imaginez des maisons coquettes sur des parcelles de 1 ha, construites légalement, selon la réglementation en vigueur pour les zones agricoles...)
C'est d'autant plus dommage que la demande de foncier est très essentiellement de nature résidentielle et non pas agricole. Je connais même une personne qui n'a pas demandé sa parcelle à Wayabo dans le but d'y produire quoi que ce soit, mais parce qu'il cherchait une résidence secondaire. Seulement, une telle offre n'existe pas en Guyane - même si l'EPAG mène actuellement une drôle de politique en ce sens...
(L'attrait d'une vie à la campagne étant parfaitement légitime et humaine, je ne pourrais lui faire reproche. J'ajoute aussi que cette personne faisait partie des tous premiers "élus" par l'EPAG (en 2011) pour l'ascension à la propriété.)
Cette méconnaissance des besoins en foncier est l'un des éléments qui aident à comprendre la soi-disant "spéculation" des terres prétendument "agricoles" de la Guyane. Mais ce n'est qu'un tout petit élément de l'explication, tout à fait marginal comme vous le voyez.
J'entame par là la réponse à votre question sur la "culture" de l'habitat : il n'existe aucune "spéculation" populaire sur les terres agricoles en Guyane. Cette "spéculation" n'est qu'une illusion, son évocation par certains s'apparente á une manipulation délibérée. La friche guyanaise n'est pas le résultat d'une "spéculation" de masse (absolument impossible), mais des errements pluridécennaux, d'ordre social et économique, lourds à expliquer. Je ne veux pas vous fatiguer avec, précisons seulement que le simple quidam n'y a aucune responsabilité.
La spéculation, la vraie, consistant à ramasser des surfaces démentes en tant que placement, elle existe bel et bien. (Cest pour cela que vous comptez les zébus.) Mais elle est réservée à peu de gens, conformément au fonctionnement clanique, au copinage et d'autres passe-droits qui découlent naturellement du système en vigueur.
Elle est aussi très peu visible pour un profane.
Pourquoi des logements sur Wayabo ? Parce que la ville sature pour cause d'argent braguette et aussi par l'absence d'alternative à la campagne. Kourou débordera soit sur les PK soit sur Wayabo. Où ailleurs ? Il ne s'agit pas d'une "décision" politique ou administrative, la réalité se moque de l'avis de quiconque. La ville débordera sur un horizon de 5 à 8 ans, point barre.
Je parie sur Wayabo. Le "contrat de vente" que les "élus" ont obtenu en décembre 2012 me parait assez clair.
Pourquoi sociaux ? Parce que c'est la vision de la ville, mais aussi parce que les logements sociaux ouvriront le grand boulevard pour la ville et les administrations ne pourront y résister en aucune manière : une zone résidentielle occupée par des gens d'un certain niveau de revenu est parfaitement viable en l'état. Ces gens prennent leur voiture et vont travailler en ville.
A l'opposé, un quartier social à 25 km de la ville imposera aussitôt un bureau de Poste, une antenne CAF, cinq Chinois, une (deux, trois) écoles... Les becs seront cloués. Seule l'absence de sous freinera le processus.
Je salue votre idée de laisser l'agriculteur construire sa maison sur sa parcelle. Bienvenue au club, nous sommes un certain nombre, sauf nos huiles réunies à l'EPAG : sa direction, les directeurs successifs de la DAAF, les préfets dès M. Laflaquière, notre Région à nous etc. Parce qu'il n'existe aucun problème que l'absence de solution ne puisse résoudre, c'est bien connu.
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